La communauté de Dofus
  Nos Aventures
 

Les Bandits de Bonta :

Le soleil se trouvait haut dans le ciel et le temps était magnifique car dans la mare de gelées étrange laisser par mes ennemis précédant. Aider d'un ecaflip, d'un osamodas asser inexpérimenté et d'un sadida, je venais de remporter une victoire écrasante face a un groupe de blop déchaîner, prêt a tout pour nous "exterminer".

Après avoir nettoyer notre équipement, fais le point et récupérer de la vie, nécessaire a tout le monde pour survivre dans les plaines de CANIA, nous nous remîmes en marche.

Puis soudain, sortant de je ne sais où, le groupe légendaire, formé de Edasse le Trouble Fête, un sacré sacrieur disposant d'une reserve de vie a faire tomber un trool, Nomekop le Crapoteur, un ecaflip aussi fort et resistant que le roc et enfin, leur terrible chef... Eratz le Revendicateur, un iop à ne surtout pas mettre en colère, apparu. Et la nous le vîmes ...Il marchait en triangle et entre eux, bien protéger, marchait un dragodinde qui portait sur son dos LE DOFUS EMERAUDE...

Il fallait les intercepter, et vite. Une telle ocasion de se presenter pas deux fois. Mais comment faire? Nous n'étions que 4 novice face a 3 héros de la guerre. Deux d'entre nous resteraient la pendant que deux autres iraient chercher de l'aide. Je fus de ceux qui avait la chance de rester, pour observer les 3 "gardiens", au cas ou ils changeraient de place. Je dis chance car, les observer en est une. Il n'arrêtaient pas de s'entraîner entre eux... Ils utilisaient des technique toutes plus élaborés les unes que les autres! Enfin, une heure passa, puis mes compagnons revinrent, accompagnés de deux ecaflips, de deux enutrofs et d'un sadida. La victoire nous guettaient...

Nous étions désormais en tout 9, prêt à donner notre vie pour avoir le dofus tant convoité...

Et voila, nous venions d'engager le combat, la peur au ventre, tout du moins pour moi. La parti commença par Edasse, qui ne fit rien d'extraordinaire. Mais cela se corsa quand leur chef Eratz joua et fit colère de iop ... Deux d'entre nous y laissèrent leur vie. Pour la suite je ne peux vous la conter, car cela remémore en moi des souvenirs tristes. Mais voila un petit résumé. Eratz nous décima, malgré les dégâts que nous lui infligions, tendit que ses deux amis nous regardaient nous faire massacrer comme des vulgaires mouches... Nous avons subit une défaite écrasante.

Mais cette aventure m'a appris que je dois attendre d'être plus fort avant de m'attaquer a des tels adversaires. Je donc décider de partir dans tous AMAKNA, a la recherche du savoir, de l'entraînement, de force et d'amis! Et bien sûr, ces trois là me reverront !!

 

                                                                                           Lifaen


 

Le Chateau Wa :

Après ma défaite d'hier, je me promenais, un peu triste mais toujours avec une détermination terrible. Qu'allais-je faire aujourd'hui ? J'étais en train de me poser cette question quand une affiche, porter par le vent( hasard?), se pose a mes pied. Tous naturellement, je la pris et la lue. Elle parlait des Wabbits, créature dingue de cawottes. Au entre de la l'affiche, en gros caractère étais écrit : AVIS AUX JEUNES AVENTURIERS ! LE WA A PRIS LE CONTROLE DE L'ILE DES LENALDS ! DEMANDONT DE L'AIDE IMMEDIATE !

Ca y est, j'avais enfin une occupation! Voila ce que j'allais faire! Le château Wa! Mais seul je ne pourrais pas... Je devais réunir un groupe assez fort pour au moins réussir a aller jusqu'au château. Je partis donc en quête de personnes acceptant de m'aider et ce ne fut pas dur. Au bout d'une demi-heure de recherche j'avais réussi a constituer un groupe suffisamment puissant composé de :

Deux ecaflips de niveaux 59 et 68

Deux cras niveaux 73 et 58

Un feca niveau 72

Un eni niveau 49

Un xelor niveau 91

Nous étions donc 8, prêt a défier la Wa wabbit lui même! Nous prenons le zaap pour directement arriver a l'île et partons, restant groupé en cas d'attaque! Au début de la route, quelques wabbit essayaient de nous impressionner, mais nous les éliminons aussitôt et repartions de plus belle. A un moment un groupe de deux Grands Pas Wabbit m'on intercepté. Malheureusement, notre groupe été trop en avant du chemin et ne pouvait venir me sauver. Mais soudain une feca vint m'aider, et même me sauver. Car sans elle sans était fini de moi... Après avoir donc éviter les cawottes explosives lancées par les GPW , nous avons foncés vers eux et les avons trancher net. Je demanda à la feca si elle voulait aller au château mais elle me répondit que non et parti étrangement vite. Je me remis donc en route et retrouva sans plus attendre mon groupe. La suite ce passe plutôt sans encombre jusqu'a ce que nous arrivions sur l'île du château.... A partir d'ici des hordes très menaçantes de wabbit commencèrent a nous agresser... Plusieurs d'entre nous décidèrent d'abandonner là, ou tous simplement tombèrent sous les assaut répéter de nos ennemis...

Sa y est je me trouvai a une case de distance du Château renfermant les 3 équipements du Wa si convoités. Soudain le feca qui était la depuis le départ apparu derrière moi et fonça tête baisser vers le château. Mais, sans doute par la joie, il ne vit pas qu'un groupe de wabbit impressionnant venait de lui barrer le chemin... C'était trop tard, il venait de sa faire attaquer. Je ne pouvais le laisser seul et mourir, surtout si près su but final. Je pris mon courage a deux main et sauta à ses cotés. Je vis dans ces yeux alors une lueur d'espoir. Si nous mourrions, nous mourrions ensemble! Le combat faisais rage. Nous venions d'éliminer un GPW quand soudain un cawotte tomba au pied du feca! Dans un ultime geste il me lança une protection. Quand le trouble que le cawotte avait fait disparu, je ne vis plus le feca. Il avait préférer me protéger moi plutôt que lui. Je ne savais comment le remercier mais j'y penserai plus tard car les wabbit étaient déjà sur moi.. Au bout de je ne sais combien de temps, j'étais parvenu a me débarrasser d'eux... Le calme était revenu... Le feca, du fait de notre victoire, était encore vivant, mais très blesser. Je le pris dans mes bras et avança jusque devant le donjon, ou nos amis nous attendait.. Enfin pour dire vrai nous n'étions plus que quatre face au château immense du Wa wabbit.. Nous récupérons nos vies, nous équipons de nos meilleur équipement et entrons...

Ce que nous découvrons est magnifique! L'entrer est grande et les décorations d'une beauté si étrange... Mais à peine arriver que nous voyons un groupe de wabbit fonçant vers nous! Nous nous écartons vite pour les éviter mais le combat est inévitable... Mais a notre grande surprise le premier combat est plus du repos pour nous et nous le finissons rapidement pour passer a la seconde salle. Tout aussi calme que la première, la deuxième salle ne nous pose pas de problème et nous en profitons pour trouver de nouvelles techniques. Nous entrons maintenant dans la troisième salle et somme frapper par les GPW qui sont de retour... Mais nous n'avons plus peur de rien après ce que nous avons déjà traverser. On pourrait même dire que la peur émanait plus des wabbits que nous! Grâce a des coups de marteau du xelor bien placer, et des griffures meurtriers, nous exterminons les Wabbits, un par un. Soudain, le feca attaque le GPW restant, pensant le finir, tombant sur le sol,mort, le GPW envoya sa cawotte explosive qui éclata devant le xelor et le blessa grièvement... Nous arrivâmes a la quatrième salle, mais nous ne pouvions plus continuer avec notre blesser, car sans lui tout aurait été plus dur, et cela sans compter que dans cette salle ce trouvait les terrible machines de guerre wabbit, les Wobot! Par chance, avant de s'évanouir, le xelor nous donna les noms de ses amis, pour qu'ils viennent nous sauver.. Au bout de deux heures, quand nous allions abandonner, nous avons enfin réussi a parler aux amis du xelor! Ils viendraient a quatre, et tous de très haut niveau :

Feca niveau 93

Osamodas niveau 113

Cra niveau 107

Xelor niveau 133

Avec cette aide précieuse, nous passerions tranquillement le donjon! Mais encore fallait-il qu'il viennent.. Nous dûmes attendre 3 jours, seuls et affamés, dans le donjon, devant un wobot de plus en plus curieux et étonné de ne pas se faire attaquer... Puis un matin très tôt, je les vis arriver! Nos 4 héros étaient là. Sans plus attendre ils soignèrent le xelor blesser et foncèrent vers le Wobot. Le combat fit sans grande difficulté, aider de nos amis. Des maîtrises par si, d'autres par là, et le tour était jouer. Nous venions d'arriver dans la cinquième salle, quand nous aperçûmes à sa sortie un groupe de Wobots armés jusqu'aux oreilles avancer vers nous... Le temps d'un regard, et notre plan était au point! Nous nous séparâmes et encerclèrent les ennemis, puis leur bondirent dessus! Les coups allaient dans tous les sens, les sort ne faisaient pas mieux! On ne voyait plus rien... A un moment, une flèche ma même frôlé, puis a tout droit atterri sur le crâne du wobot! Puis, tout d'un coup un gros BOoOoNG! déchira la salle et un silence s'en suivit. Le dernier wobot venait d’être vaincu! Enfin! Nous passâmes à la salle suivante mais nous avions décider qu’a cette salle, un peu de repos serait nécessaire. Après avoir récupérer nos forces, nous passons a la septième salle, qui compte toutes sortes de wabbits rencontrer depuis le début. Mais nous savons comment nous y prendre et passons sur le corps du wobot, puis du GPW et terminons par les gentils petits wabbits! Nous nous en sortons très bien. Soudain une lumière aveuglante apparaît au loin... la salle du WA WABBIT est la! Nous nous préparons et allons lui parler. Ça y est, je me trouve devant lui, mais il est si petit...

Nous lui exposons le problème. S’il ne veut pas rendre cette île au lenalds, nous n’hésiterons pas a l’en faire partir! Il nous rit au nez, claque des doigts, et nous voyons arriver deux énormes Wobot suivis de près par des GPW ayant l’air féroce... arrivent en dernier des wabbit donnant l’impression de ne pas avoir pris de cawottes depuis des mois!

Et sans aucun signe, tous les Wabbit nous ont attaquer! Nous nous mîmes une priorité : Le Wa d’abord! Sans plus attendre, nous nous somme mis a bombarder le Wa de coup d’épées, de baton, de marteau,etc.. Acculez dans un coin, il ne put résister longtemps. Puis le feca arriva et le termina d’un coup de bâton dévastateur! En voyant leur chef tomber, les autres wabbits ne trouvaient plus la volonté de gagner et perdirent vite.

Ça y est, nous venions de triompher du Wa et des ses acolytes! Vite, il fallait récupérer les objet du Wa avant q’un sale tiwabbit ne s’en empare. Nous nous mettons à quatre pattes et commençons a chercher les items du Wa. A les deux xelors vienne chacun de trouver un objet! Super il en reste un, la coiffe, qui va l’avoir ?! A et bien c’est le feca qui vient de le trouver!

Bon et bien voila nous ressortons, heureux de l’avoir terminer. J’espère le refaire une prochaine fois et réussir à avoir un des équipement du Wa! En tous cas cette aventure etait tres enrichissante! Et j'ai appris a ne pas sous-estimer les wabbits!

 

 

                                                                                           Lifaen



Prisonié :

Me voila de retour après de nombreux mois d'enfermement et d'affaiblissement. Oui, je dis bien emprisonnement. Car, comme vous le savez, je venais de finir le chato du Wa, quand notre groupe se sépara pour que chacun retourne vaquer a ses occupations. Mais pendant que les autres partaient, j'entendis un bruit venant de derrières les arbres. Porté par la curiosité, je m'avança pour voir d'ou cela venait. Puis je vis, sur un tronc d'arbre coupé, un anneaux magnifique ! Je ne pût m'empêcher alors d'avancer ma main vers lui. Mais, quand ma main ne se trouvait plus qu'a quelques centimètres a peine de lui, le sol se déroba sous mes pied. Seulement quelques secondes avaient dû passer, mais j'avais l'impression que je tombai pendant des heures ! Quand le sol m'apparu enfin, je ne dût la survie des mes jambes qu'a l'agilité légendaire des Ecaflips. Enfin, même si mes jambes avaient été sauvées, je glissa, a cause du choc de l'arrivé, en arrière, et me cogna la tête contre une pierre. Le choc fût si fort que j'en perdis connaissance...

Je fût réveillé a cause d'une douleur atroce qui me frappa le crâne! Bien que j'eu du mal a entrouvrir les yeux, j'en eu encore plus pour me lever a cause de cette douleur qui me lacerai le crâne. Quand je fût enfin debout, le spectacle se trouvant devant moi m'horrifia. Je me trouvais dans une petite salle, avec des murs de pierre aussi sombre que la salle. De plus, tout le pan se trouvant devant moi n'était que fait de barreaux.. J'était emprisonné... Je me remit a observer les murs, et plus particulièrement les décorations s'y trouvant, bien que je n'y reconnue rien, sur l'instant. C'est seulement quand je m'approcha des barreaux que je commença a comprendre. La "prison" ou je me trouvais ressemblait a une grande tour, et je pouvais voir tout ce qui se déroulait en bas, endroit fait, je le pensa plus tard, pour que tout le monde puisse le voir. Une créature, vêtu d'une longue cape noir, se mouvait au centre de cette "scène". Elle avançait méthodiquement vers une sorte de pantin attaché sur un hôtel. Enfin, ce que je croyait être un pantin. Car, avec plus d'attention, je remarqua qu'il s'agissait en faite d'un Feca! Puis, sans prévenir, la chose leva ses mains, sa cape tomba, et se lança vers le feca, avec dans ses mains, une dague a l'allure tranchante. En quelques secondes, elle se retrouva malheureusement planter dans le coeur du Feca, ce qu'il lui arracha un dernier cri de douleur... Mais quand la creature se retourna, je n'en revint pas. Il s'agissait du Wa Wabbit ! Mais a peine venais-je de penser a sa que ma douleur me repris de plus belle, et me fit tomber sur le sol. Je m'aperçu alors que je n'était pas seul a être enfermé la, bien malheureusement. Des centaines de cellules s'offrirent alors a mes yeux. Dans chacune d'elle se trouvait quelqu'un, qui ressemblaient d'ailleurs plus a quelques chose, a cause de leur corps décharnés. Puis j'eu encore une pensé pour le Wa. Pourquoi faisait-il cela ?! Il n'y avait aucune raison apparente...

Mais qu'importe, je devait penser a m'echaper, car je ne voulais pas finir comme le malheureux Feca. Puis, je senti un léger coups de vent me caresser le visage. Je m'aperçu alors que cela venait d'un trou pas plus gros me la pomme de ma main, mais qui permettait quand même de voir au dehors. Je décida alors de m'en approcher, pour regarder s'il faisait jour ou nuit. Je devina alors vite que nous étions en journée, car un rayon de soleil me frappa les yeux. Mais le mieux, c'était d'essayer de s'enfuir la nuit, pour des raisons de camouflages.

Au bout de plusieurs mois, je réussi enfin a retenir par coeur les rondes des gardiens, les moments de leurs, courtes, pauses et tout ce qui pouvait m'aider. Puis, un soir, tenaillé par la fin et la soif( il ne nous donnait que de petits morceaux de pain et de l'eau souillé) je décida qu'il était temps. Première chose, et sans contexte la plus importante, il me fallait la clé. J'avais remarquer vers les premiers jours de mon "séjour" que les wobbot, nos gardes, se faisait passer leurs clé de cellule en envoyant de petits tiwabbit, qui mettait les clé autour de leur coups et fonçait sans s'arrêter a l'autre wobbot. Je tirerais donc parti de cela. J'attendis patiemment qu'un wabbit passe, quand soudain ma patience fût récompensé. Les tiwabbit ne pouvaient s'empêcher de faire de petits cris, qui indiquait donc quand il passait près de ma cellule. Puis soudain je tendis mon bras a travers les barreaux et attrape le tiwabbit qui passait. En une fraction de seconde, il se retrouvait mort, dans ma main. Je m'empressa de prendre les clés et me dirigea vers la porte. Je l'ouvrit et mis un pied dehors, mais a peine cela fait, un wamehameha me frôla. Non ! J'étais déjà repérer! Il ne me restait alors q'une seule solution:

_La course

Je me mis donc a accélérer, en usant du peu de force qui me restait pour dégager les wabbit de ma route. J'avais l'impression d'avoir couru des heures durant tellement mes jambes me brûlaient. Je ne pensais plus a rien, a part a ma survie! Je sentis alors les pas d'un wobbot se trouvant juste derrière moi, ce qui me fît accélérer de plus belle. Sa y est ! J'aperçu soudain le zaap, se trouvant seulement a quelques mètres de moi. Plus que 15m. Je sentais ma force m'abandonner. Plus que 10m. Un Wavelot se planta soudain dans mon épaule, ce qui me vola un cri. Plus que quelques pas. Mon sang coulait a flot, mais je ne sentais plus rien. Enfin ...

FZIIIOU !!

Je percuta quelque chose, m'écroula sur un sol dur, puis m'évanoui. La dernière chose que j'entendis ne furent que des cris de stupéfaction.

Quand je rouvrit les yeux, je me trouvais dans une grande pièce, éclairé par de petites bougies. Je devais me trouver a l'étage, car des voix venait d'un étage inférieur. Mais je n'eu pas le temps d'entendre ce qui se disait, car des pas résonnèrent de l'escalier. A ma grande surprise, je reconnus mon ami, Roran ! Il m'apprit donc comment il m'avait amener chez lui. Il allait se préparer a partir pour le village de tainela, quand soudain je sortit du zaap et le percuta a pleine vitesse. J'imagine la tête des gens le voyant, maigre, blessé. Mais Roran me releva alors que je venais de m'évanouir, et m'emporta chez lui pour me porter les soins nécessaire...

Mais une question reparue alors dans mon esprit. Pourquoi le Wa a-t-il fait sa ?! De plus, je me sentais investi d'une mission. Je devais libérer tout ces prisonniers, enferme dans le Donjon du Wa ...

                                                                                           Lifaen



Sollitude :

Me voilà seul… Depuis des semaines je tourne en rond sans ne savoir quoi faire. Est-ce là la vie que je voulais mener ? Où sont passer mes rêves d’aventure qui ont forgé mon enfance ? Ais-je tout perdu ? Perdu ce besoin d’évasion, de grand air, de défi ? Tout ça parce que je me retrouve seul ?
Non ! Il fallait que je me reprenne en main ! Et vite ! Lifaen est bien parti en voyage d’apprentissage, pourquoi pas moi ? De toute façon il fallais que je quitte Astrub. Je ne supportais plus la présence de tout ce monde, ces cris de marchands désespéré qui tentent de vendre leur marchandise douteuse.
Ma décision était prise, je partais… Loin… Et pour longtemps…

  Laissant la citée mercenaire derrière moi, mon sac sur l’épaule, je marchais. Je ne savais pas où, mais je savais pourquoi.
Je quittais Astrub par la route du Sud, route qui me conduirais vers Amakna. Amakna… Cela fait longtemps que je n’y avait plus mi les pieds. Pourtant c’était la ville principale du monde que je connaissais. C’est là que tout ce passait, que rien ne manquait, la ville maîtresse en quelques sortes.
Je marchais sur l’herbe sèche, en cette saison c’était normal, pourtant quelque chose me perturbait. L’herbe était écraser a certain endroit et ne poussait presque plus, formant des sortes de traces. Mais oui c’était cela ! Des traces de pas. Utilisant mon flaire d’Ecaflip je renifla les alentours sans rien sentir d’anormal. Pourtant mes sens étaient en alerte. Comme si chaque particule de mon corps me prévenait d’un éventuel danger.
Soudain un craquement sinistre suivit d’un éboulis de pierre retentit. Je me retournai vers la montagne à laquelle je faisais dos jusqu’à présent. Je ne pu manquais de voir l’énorme homme de pierre qui se dressait là. Un craqueleur !
Il n’avait pas l’air commode, il me fixait avec mépris et s’âpretés a me réduire en bouilli. Je rendis hommage à mon dieu en jetant précipitamment une pièce en l’air. La pièce tournoya quelques secondes en l’air avant de retomber dans ma main, il fallait que se soit face.
J’ouvris ma paume et aperçu avec soulagement le petit dé familier qui marquait le côté face de la pièce. Père était avec moi. Le combat pouvait commencer.
Le craqueleur qui n’avait strictement rien compris a la manœuvre que j’avait faîtes s’avança, le sol trembla sous c’est pas, mais je gardais une parfaite maîtrise de mon équilibre.
J’aperçu alors cacher par la masse imposante du craqueleur, deux petits craqueboules.
Le combat allait être plus dur que prévus.
Le craqueleur fit encore deux pas en avant, puis à une rapidité inattendu pour sa taille il souleva un énorme rocher et le lança dans ma direction. Prit par l’effet de surprise je n’eu la vie sauve que grâce a un prodigieux réflexe. Des éclats du rocher brisé parvinrent tout de même à m’atteindre, entaillant ma cuisse.
Les craqueboules agirent alors. Fonçant sur moi. Je lança mon sort favori : Griffe joueuse. Prit dans leur élan il ne purent esquiver et se prirent l’attaque de plein fouet. Tranchant la pierre, net. Le craqueleur voyant ses compagnons s’effondrait fronça les sourcils et tourna sa tête rocailleuse vers moi. A son tour il coura vers moi. J’effectuai le même sort mais il ne fit pas l’erreur de ses camarades et esquiva l’attaque. Je dégainai ma griffe aiguisée, sauta en l’air et entailla la pierre brute qui formait la jambe du craqueleur. La blessure à ma cuisse me fit soudainement souffrir et je ratai mon atterrissage, tombant maladroitement sur le sol. Le craqueleur en profita pour tenter de m’écraser avec son immense pied. Seul ma chance d’ecaflip pouvait me sauver…
Et elle le fit ! Je parvint a me relever et me jeter en arrière juste a temps. Fou de rage je taillada le craqueleur de toute pars a l’aide de ma griffe. Il ne savait plus où donner de la tête et cela le perdit. Je l’acheva en plantant ma lame dans ce qui semblait être son cœur. Il s’écroula en éparpillant des pierre un peu partout.
Je m’assis a terre essoufflé, ce combat m’avait ravivé j’étais certes blessé, mais légèrement. Maintenant ma soif d’aventure était réveillée, je n’étais que plus prêt pour effectuer ce voyage.
Fouillant dans ce qui restait du craqueleur je découvrit un petit objets a moitié écrasé par une des pierre qui composait le craqueleur. Je la souleva et ramassa ce qui semblait être une clé. Une clé ornée d’une tête de craqueleur miniature. Je la rangea dans ma poche et continua a fouiller. Je ne récupéra rien d’autre que la dents en or du craqueleur.
Je remerciai Père de la chance qu’il m’avait apporté durant ce combat et je repris ma route.
Ma cuisse me lançait énormément et j’avais de plus en plus de mal à avancer. Une si petite blessure… La douleur me faisait  tourné la tête, tout devenait flou…
Je perdis connaissance…

 

La lumière… Mes yeux… Trop de lumière… Et ma jambe ! Je n’avais plus mal :

_ Où… Où suis-je ?

_ Reste couché ! Ta plaie était infecter tu est encore faible.

Une image floue apparue à mes yeux, qui gagnait en netteté fur et a mesure :

_ Qui êtes vous. Dis-je en tentant de me relever, mais une main venu m’arrêter pour me forcer à me rallonger.

_ Erwan, je suis un eniripsa. Tu n’as plus de soucis à te faire pour ta jambe elle est complètement guéri. Il faut juste que tu te reposes un peu.

_ Merci. Merci de m’avoir soigner.

_ Ce n’est rien, je suis né pour cela, mère m’en est très reconnaissante. Et toi aussi a ce que je voit.

Je voyais complètement et je me sentais beaucoup mieux. Je tentai de me relever et cette fois-ci il ne m’en empêcha pas.

_ La nuit va bientôt tomber et tu devras dormir dans un bon lit si tu veux te remettre complètement de ce petit incident.

_ Où sommes nous ?

_ Je tes emmener du mieux que je pouvais prêt du village mais tu est drôlement lourd !

Je souri. Cela me faisait plaisir de rencontrer quelqu’un :

_ Merci encore. Je vais me reposer à la taverne.

_ Oui tu ferais mieux. Adieu, jeune Ecaflip, que la chance te souri !

_ Adieu ! Et merci pour tout.

Nos chemins se quittèrent déjà. Et je parti en direction de la taverne d’Amakna. Effectivement je me trouvais au village, le crépuscule était là et je me déplacer grâce a ma vision nocturne que Père avait offert a notre classe. Il ne faisait certes pas complètement noir mais cet avantage m’aida a me guider plus facilement dans les rues.
Je rejoins la taverne alors que la nuit était complètement tomber et je loua une chambre pour une petit somme de kamas.
La nuit ce passa sans encombre…

  Le ventre plein je quitta la taverne. Où allais-je allais maintenant ? Une chose me revint à l’esprit. Cette clé que j’avais trouvée dans le cadavre du craqueleur. Je ne savais pas ce qu’elle ouvrait. J’avais connaissance des nombreux donjons qui se trouvait dans ce monde, j’en avais déjà parcouru quelques uns. Mais celui là je ne l’avais jamais vu.
Je décidai de me renseigner sur cette clé et sur l’éventuel donjon qu’elle ouvrait.
Je parcouru la ville qui s’éveiller à peine en direction de la bibliothèque. L’air frais du matin me revigora et je me sentais en pleine forme.
J’atteignis la bibliothèque quelques minutes plus tard et j’entra dans le bâtiment, sans le moindre bruit, si ce n’est le grincement de la vieille porte en bois de châtaigner.

Je parti à la rencontre du bibliothécaire et lui chuchota ces mots :

_ Où pourrais-je trouvais un ouvrage sur les donjons ?

_ Chut ! Moins fort. Deuxième étage, troisième couloir. Et rappelez-vous : Pas de bruits !

Je monta les escalier en silence respectant les autres aventuriers qui, nombreux, lisaient de gros ouvrage au pages délicate et au reluire doré. Tout les livres se ressembler et il était difficile dans différencier un des autres, si ce n’est par le noms en lettre d’or écrit sur la tranche et la couverture.
Je parcouru le troisième couloir. Il y avait ici des centaines de milliers de livres ! Bien plus qu’à Bonta, la citée mère des anges où j’avait rejoins leur rang.
Je parcouru les rayon à la recherche de mon livre. Au bout d’une bonne demi-heure je parvins à trouver un livre intéressant. Je m’assis au bang d’une table et je le consultai. Tournant les pages délicatement pour le pas les abîmer je lu le sommaire a la recherche d’information.
La chance me sourit encore. Ce livre parlait du donjon craqueleur. Un croquis représentait clairement la clé que j’avais trouvée. Lisant toutes les pages de ce chapitre pressement j’appris le lieu ou se trouvé l’entrée de ce donjon et ce qu’il abriter. Le terrible Craqueleur Légendaire !

Voilà mon nouveau bute ! Je devrais parcourir ce donjon et vaincre le Craqueleur Légendaire. Mais je n’y arriverais pas seul. Il me faudra trouver de l’aide…

Roran



Le Donjon Craqueleur :

Dès l’aube je fus debout, j’avais hâte de partir à l’assaut du donjon craqueleur. Je marchais précipitamment vers le zaap du village où je trouverai certainement des aventuriers qui pourraient m’aider.
Les ombres étaient allongé et la couleur orangée du soleil rendez la ville magnifique. Une brise fraîche me caresser les poils en me rafraîchissant. La journée allait être chaude et j’espérais que le vent frais soufflerait toute la journée.
Mes pas foulèrent enfin l’herbe, verte et humidifié par la rosée du matin, qui contournais le zaap.
Déjà de nombreux aventurier était là. Discutant des leurs projet et cherchant de l’aide pour les réaliser. Des marchands cherchaient à vendre leur marchandise. Je retrouver les habitudes du zaap d’Astrub, bien que les marchands vendaient, eux, des objets de valeur et de meilleure facture qu’à Astrub et que les aventuriers était moins nombreux et plus expérimenté.
Je m’avançai vers un groupe d’aventurier. Ils étaient six et semblait en pleine discussion animée. Ce petit groupe ce composé d’un Iop, dont les cicatrices montrées qu’il avait effectué nombre de bataille ; d’un Eniripsa, dont l’aura de puissante soulevaient des mottes de terre ; d’un Crâ, fier et à la haute allure ; d’un Osamodas, qui à ses côté ce dresser un puissant dragonnet rouge ; d’un Enutrof, dont l’âge et la sagesse dépasser mon entendement ; et d’un Sram, sournois et l’air d’en avoir voler plus d’un. Dans leur dos ce dresser d’imposantes ailes. Des ailes de démons. Deux cornes orné leurs front.
Découvrant cela je m’arrêta et renonça a leur demandais leurs aide :

_ Toi !

_ Moi ?

_ Oui toi, viens là.

L’homme qui m’avait appelé était un Sacrieur, qui avait l’air expérimenté. Prêt de lui se tenez un Enutrof paressait, certes vieux et sûrement plein de sagesse, mais moins expérimenté au combat :

_ Que me veux-tu ? Lui demandais-je

_ Ca t’intéresserait de faire un donjon craqueleur ?

Quelle chance ! Je remerciai silencieusement Père de son présent :

_ Bien sur ! Je cherchais justement de l’aide pour vaincre le Craqueleur Légendaire.

_ Parfait ! Bienvenu dans notre groupe ! Je me présente : Armature du Zombie et voici le servant ténébreux. Il rajouta plus bas : Il aime qu’on l’appelle comme ça.

Armature du zombie ! Servant ténébreux ! Ce n’est pas des noms ça. Je garda cette remarque pour moi mais je n’en demeurer pas moins stupéfait de leurs drôle de noms :

_ Moi c’est Roran. Mais vous êtes sur qu’a nous trois… On peut y arriver ?

_ Ne t’inquiète pas. Un ami nous attend là bas et il est très expérimenté. Annonça Servant Ténébreux ouvrant la bouche pour la première fois. Apparemment il l’aurait déjà réussi seul.

_ Bien ! Comment se nomme t’il ?

_ Artschil, c’est un Sadida.

_ D’accord. On y va ?

_ C’est parti !

Nous nous mîmes en route vers les montagnes. Je me demandais si mes compagnons n’était pas démons qui cachaient peut être leur ailes. Même si mon devoir aurait été de les affronter, je n’allais pas laisser une occasion d’aller dans ce donjon et je n’étais même pas sur de ce que je pensais.
Le jour c’était complètement levé lorsque nous atteignîmes les montagnes.
Nous entamâmes l’ascension jusqu’au lieu ou se trouvait l’entrée du donjon. Cela nous prit une petite demis heure.

Enfin ! Nous étions arrivé. L’entrée n’était autre qu’un banal escalier de pierre sculpter dans la roche de la montagne. Devant ce dernier était posté un Enutrof qui portait une drôle de coiffe rappelant la tête d’un craqueleur.
Artshil n’était pas là. Mais le Sacrieur m’annonça qu’il était à l’intérieur.
Nous entrâmes donc en donnant la clé à l’Enutrof.

L’escalier menait à un petit plateau au bord des montagnes. Là ce trouver assis un Sadida, sûrement Artschil. En nous voyant arriver il se leva et nous adressa la parole :

_ Enfin vous voilà ! Ca fait longtemps que je vous attends et j’ai eu de la chance que les craqueleurs ne décide pas de m’attaquer. Dit-il en désignant un groupe de craqueleur accompagné de craqueboules.

_ Désolé on a prit un peu de retard, répondu armature.

_ Bon alors, à l’attaque !

Nous courûmes vers les craqueleurs et les attaquâmes. Il y avait trois craqueleurs et trois craqueboules. Je cru d’abord que nous aurions du mal a les vaincre mais après avoir vu les talents d’Artschil je compris que ça aller être facile.
Il les réduisais tous en miettes a coût de bâton tandis que moi et le Sacrieur découpons les craqueboules à l’aide de nos lames.
Le combat fut rapidement gagné et nous fûmes télé porter sur un autre plateau plus haut. Ici marchaient paisiblement une nouvelle fois trois craqueleurs mais cinq craqueboules cette fois-ci. Nous les attaquâmes et une nouvelle fois ils périrent sans grandes résistances.
Nous nous retrouvâmes plus haut. Toujours aussi facilement nous l’emportons et nous retrouvâmes encore et toujours plus haut.
Cette fois-ci des craqueleurs des plaines étaient là. Ca ce corsé mais avec Artschil nous étions sur de l’emporter. Le combat dura plus longtemps mais nous ne furent pas blesser.
Nous progression dans le donjon et j’avais hâte de me retrouver face au Craqueleur Légendaire.
Des craqueboules pour cette sale. Le combat fut vite terminé.
L’altitude devenait très élevé est je craignais que nous finiront à avoir du mal a respirer bien que pour l’instant ce n’était pas le cas.
Nous nous préparâmes  à attaquer les craqueleurs et Artschil fonça devant. L’Enutrof le rejoint et je tentai moi aussi mais je ne pouvais pas ! Cela m’étais impossible ! C’est comme si tous mes membres refuser de m’obéir. Je restais clouer sur place regardant Artschil et Servant des Ténèbres combattre. Armature du Zombie subissais le même sort que moi et  nous restions impuissant à regarder nos amis détruire les craqueleurs un à un. Finalement ils furent télé portée au plateau du dessus et je repris possession de mon corps. De nouveau craqueleurs firent leur apparition. Armature et moi, désormais seul, nous lançâmes à l’assaut de se groupe. Le combat aller être plus dur, Artschil n’étant plus là, mais nous pouvions y arriver. Nous nous battîmes sans relâche. Usant de tout nos sort les plus puissants et de nos tactique de combat. Nous faisions merveille, bientôt il ne restait des craqueleurs qu’un amas de gravats, et nous fûmes télé portée à notre tour.

_ Pourquoi ne nous avez-vous pas rejoins pendant le combat ? Demanda Artschil.

_ Nous ne pouvions pas…

_ Comment ??

_ C’est comme si notre corps ne nous répondait plus. Ce n’est que quand vous avez été télé portée que nous avions retrouvé son usage.

_ Etrange…

_ Bon si on y aller ? Demanda Armature.

_ Allons y !

Une nouvelle fois Artschil et Servant partir à l’assaut des craqueleurs. Et une nouvelle fois je perdis l’usage de mes membres. Armature également.
Devant nos yeux nous vîmes nos amis se faire encercler, et l’un après l’autre succomber. Leurs corps inerte tombèrent au sol dans un bruit sourd, accentuant la côté sinistre de la scène. Nous avions rien peu faire. De les voir mourir devant nos yeux sans avoir peu intervenir m’ébranla. Une flamme de colère s’alluma dans mes yeux. Jetant un coup d’œil à Armature je remarqua qu’il était dans le même état.
Nous fûmes libéré de cette emprise magique et nous nous élancèrent pour venger nos compagnons, la rage qui nous animer nous faisait accomplir des choses incroyables. Nous éliminions les craqueleurs avec une rapidité et une force déconcertante. Certes nous eûmes quelques difficultés mais nous l’emportons sur les craqueleurs qui avait tué nos amis.
Et nous apparûmes au plateau d’en haut. Nous n’avions même pas peu enterré nos amis dignement…
Après avoir effectuer 5 minutes de silence en leur mémoire nous pensâmes à nous et ce que nous allons faire. Nous n’y arriverons pas seuls.
Soudain, Armature eu une idée. Un ami a lui très puissant, Sublima le Xelor, pourrait nous venir en aide ! Il s’assit dans un coin et se concentra pour communiquer avec Sublima par la pensée. Après un long instant il ouvrit les yeux et m’affirma qu’il venait nous aider.
Nous étions sauvé ! Nous ne pourrions pas perdre avec lui. De plus il avait en sa compagnie un Fecate expérimenté elle aussi.
Pour ne pas nous faire attaquer le temps que Sublima arrive à notre hauteur nous nous cachâmes dans une grotte peu profonde, certes, mais suffisamment étroite pour ne pas laisser entré un craqueleur.
Au bout d’une longue demi heure d’attente mal installer dans la grotte nous entendîmes quelqu’un approcher. C’était Sublima ! Nous allions pouvoir continuer notre ascension.
Les craqueleurs qui se trouver là sembler  plus féroce et plus puissant que les précédents. Mais nous n’avions plus rien à craindre avec nos nouveaux compagnons.
Le combat fût une merveille, autant pour la rapidité mais aussi pour voir œuvré des combattants aussi puissant. Sublima et la Fecate était fabuleux ! L’un a l’aide de sa maîtrise du temps ralentissez les craqueleurs avant de les démanteler à grands coups de marteaux, l’autre résistait à toutes les attaques sans broncher et éliminait les craqueleur au bâton ou sur ses puissantes glyphes enflammées.
Nous nous rapprochions du Craqueleur Légendaire. Ce plateau était étrange. Aucun craqueleurs n’était présent. Comment accéder au plateau du dessus dans ce cas ?
J’observai attentivement les environs et je remarqua que, sur la corniche d’en face, pendait une échelle contre la paroi. Mais comment parvenir de l’autre coté ? Il était impossible de sauter une distance pareille et aucun de nous ne savez voler. C’est alors que je vis une chose extraordinaire. Sublima marchait dans le vide en direction de l’échelle suivit de la Fecate !

_ Venez ! Nous dit-il.

Hésitant j’approchai un pied du vide et à mon grand étonnement mon pied rencontra une plaque solide bien qu’invisible. J’avança mon autre pied lentement et le posa dans le vide à son tour. Je voyais le sol tout en bas, et ce n’était pas rassurant. Marcher dans le vide ainsi était à la fois angoissant et fantastique.

_ Attention marcher bien tout droit ! Nous prévient Sublima.

Je m’exécuta et Armature me suivit, tout aussi effaré que moi. Nous progression lentement, la peur au ventre, en nous émerveillant de se prodige.
Finalement nous arrivâmes au bout sans encombre et soulagé de ne pas être tombé. Nous montâmes chacun notre tour à l’échelle. Le spectacle qui m’attendais en haut m’abasourdi.
Ici se déplacer le Craqueleur Légendaire. Il était immense ! Et le sol tremblait à chacun de ses pas. La pierre qui le composait paressait extrêmement dur. Il était d’un gris pâle est semblait mieux tailler pour le combat que ses congénère. D’ailleurs il était accompagné par de nombreux craqueleurs des plaines et de craqueboules. Sublima et la Fecate n’attendirent pas plus longtemps et foncèrent à l’attaque. Nous les suivîmes l’arme au poing. Le combat commença fort. Nos deux compagnons réduirent en tas de graviers les craqueleurs des plaines tandis que nous nous occupions des craqueboules. Cela était évidemment plus dur car le Craqueleur Légendaire protéger ses allié d’une armure de topaze. Le fracas des armes contre la pierre des craqueleurs raisonné dans tout le plateau. J’esquivais les attaques d’un craqueboules, trop collant à mon goût. En lui assénant des coups de taille ou d’estoc quand le combat me le permettait. Il ne tenu pas bien longtemps et je me jeta sur un autre. Sublima et la Fecate se chargeaient maintenant du Craqueleur Légendaire. Le Xelor attaquais tendit que son ami le soignait à l’aide d’une puissante baguette. Leur adversaire se défendait avec force et manqua plusieurs fois d’envoyer Sublima dans le vide. Armature et moi, débarrassé des derniers craqueboules, partîmes les aider. Je fus blesser à la jambe et à l’épaule est dû donc quitter le combat. Pestant le sort qui m’avait mi dans cette état et incapable d’aidé mes compagnons je resta assis à suivre le déroulement du combat. Le Craqueleur faiblissait et Sublima avait de plus en plus de facilité à le tenir en respect avec son marteau. Le Craqueleur ne sachant plus quoi faire ce précipitât sur moi, voyant mon état de faiblesse. Tant bien que mal je me relevai et brandi ma griffe aiguisée. Sublime ralentit le Craqueleur Légendaire me permettant de bondir et de trancher un bras du monstre de pierre avec toute la force qui me restais, avant de m’écrouler sur le sol. Sublima acheva le Craqueleur en lui envoyant un coup de marteau de force phénoménal.
Nous fûmes alors une nouvelle fois télé portée. Mais cette fois ci tout n bas de la montagne, à l’entré du donjon. La Fecate me guéri à l’aide de sa baguette et je me releva en pleine forme.
Tous fier d’avoir réussi ce donjon nos chemin se séparèrent déjà.
Heureux de cette réussite et de mes rencontre plus ou moins étonnante, c’est ainsi que je partit à la taverne la plus proche me reposer de cette longue journée qui fut pour le moins complète.

Roran



La jungle de Moon :

Aujourd'hui, une belle journée s'annonçait. J'avais, avec un ami nommé Roran, une idée en tête. Nous devions, pour la réaliser, nous rendre sur l'île de Moon. Il nous fallait réussir a obtenir 4 fleurs de Gloutovores...

En arrivant au zaap de l'île, je découvrit mon ami qui m'y attendais, accompagnés de deux autres personnes, un feca nommé Kinahe et un eniripsa, Erwan. Je ne les connaissait pas mes Roran m'expliqua que Erwan lui avait sauver la vie alors qu'il était bléssé et qu'il avait sympathisé avec Kinahe en buvant une biere a la taverne. Roran me mis au courant que pour mettre les pieds dans cette jungle, il fallait absolument des noix de kokoko. Lui partit donc en trouver, et moi je me chargerais de trouver des aventuriers pour nous aider a combattre. Mais cela ne fût pas facile... Personne ne se trouvait sur cette île ou quoi?!

Ce n'est qu'aux bout de plusieurs heures de recherches, toutes plus infructueuses les une que les autres, que je découvrit un jeune cra nommé Bolderiz.

Nous nous retrouvâmes donc tous quelques minutes plus tard devant l'entrée vers cette immense jungle, d'où resonnait des bruit etranges, et meme parfois des cris. Une peur m'envahit alors. Et si nous échouons et nous nous perdons dans ce dédale d'arbre géants, de monstres, et de fougères ?! Mais je ne devais pas penser a cela. Il fallait me concentrer sur notre but final, qui était de réunir les 4 fleurs. Comme je l'eu dit plus tôt, il fallait, pour pouvoir rentrer, ou du moins accéder a cette jungle, plusieurs noix de kokoko. Cela venait sans doute d'une ancienne coutume ou superstition, mais mieux valait la respecter, car on ne sais jamais ce qui peux se passer dans ce genre d'endroit!

A cette foret.... Quelle beauté! Ces arbres si grands, ces fougères si impressionnantes, ces ombres si extraordinaires, la fraicheur y regnant en maitre, ces glouto... GLOUTOVORE ?!! Mais oui, un gloutovore nous fonçait dessus, suivis de ses 2 petits, sans doute affamés. Vite, pas un minute a perdre! Roran et moi nous mîmes devant le feca et l'eniripsa se trouvait lui dans le fond, non loin de Bolderiz. Malheureusement, nos chances de terrasser ces 3 ennemis, semblant avoir decider de nous exterminer avec un plaisir grandissant, étaient très faibles. Nous dûmes notre survis a un bien heureux Iop qui se promenait dans ces forets.( Ne vous demander pas pourquoi il se promenait ici, c'est un Iop...) Sa puissance de frappe était impressionnantes! A la vitesse ou il assenait tous ces coups, les gloutovores ne purent résister. Ils tombèrent quelques minutes après, a notre plus grand bonheur. Et M....! Pas de Fleurs.. Cela signifie qu'il va falloir continuer a combattre de ces terribles plantes vivantes, mais cette fois sans le Iop. A la fin du combat, il s'est éclipsé. Bon, il va falloir dénicher un gloutovore seul, et sans défense, pour essayer de le tuer et de récupérer une ou deux fleurs...

Au bout d'une bonne demi-heure, je découvris un des ces monstres qui dormait paisiblement. Nous nous mîmes tous autour de lui puis nous sautâmes dessus et lui portèrent quelques coups,mais puissants. Bien que cela l'affaiblit considérablement, il se recula d'une dizaine de mètres en faisant un bond et aspira vers lui le faible mais indispensable eniripsa, un sourrir sur les levres... Nous pûmes voir dans son  regard une peur terrible, nous rappelant nos pires cauchemars. Cela nous déchaîna! A l'Assaut! Chacun y allait de ses attaques! Un coup d'épée, puis un autre, des griffures, des coups de bâton! Ce fût le cra Bolderiz qui le finit grâce a une flèche tirée de façon surprenante. Alors que Roran était sur le dos du Gloutovore, celui-la se pencha en avant et le fît tombé devant sa bouche, prêt a l'avaler. Tout paru s'être ralenti. Sa bouche s'ouvrit de façon spectaculaire, ses yeux fixait notre ami d'un regard noir, puis il commença a aspirer. Sa ne dura que quelques secondes. Au dernier moment, alors que Roran allait y passer, et cela aurait été la fin de tout notre groupe, Bolderiz décocha alors cette flèche si rapide que même le Gloutovore ne vit rien arriver. ZiiiiiP. Il tombait par terre, raide mort. S'en était fini de lui! Et le comble, nous pûmes même récupérer deux fleurs! Plus que deux et nous pourrons partir de cette forêt qui commençait a m'inquiéter. Pour les dernières fleurs, nous devions repartir en quête d'un gloutovore, bien que cela ne m'enchantais guère... Ce fût l'eniripsa, qui avait était sauve, qui découvris le groupe que nous allions devoir tuer pour nos chers fleurs. Il s'agissait de deux gloutovore, semblant pareil. Nous eumes juste le temps d'arriver au cote de l'eniripsa que nos deux ennemis se rapprochait dangereusement. Nous avions choisi de reprendre la formation de départ, les Ecas devant, suivis par le Feca et la Cra et enfin, pour terminer, notre cher eni. Ce combat fut dans l'ensemble moins dur que les autres, car nous avions maintenant une légère expérience. Je dis bien dans l'ensemble, car j'échappa a la mort de peu a cause d'une erreur dans mon attaque. Mais quelqu'un semblait veiller sur nous car je ne mourus pas, et nous dropions même les deux dernières fleurs! Nous ne nous fîmes donc pas pressés. Le feca Kinahe distribua rapidement des potion de Rappel, nous les bûmes, puis apparurent au Zaap d'Astrub. Chacun se dispersa, pour retrouver ses occupations journalières. J'ouvris alors mon sac. J'avais deja les 4 fleurs de gloutovore. Roran s'occupait des peaux de larve verte. Il nous fallait maintenant un chanvre euphorique...

Demain sera un journée longue...

                                                                                                                  Lifaen




Le Chanvre Euphorique :

Le combat faisait rage. La plupart de mes compagnons était blessés et ne pouvait plus combattre. Il ne restait que moi et un enutrof.

Le maître bolet dévia mon attaque, et plongea en avant. Je vis soudain sa lame foncer a toute allure vers moi. Je ne dus ma vie qu'a mon ami, qui sauta et me poussa, ce qui me permis de passer mon épée a toute allure dans le dos de mon adversaire. Il était mort! Oui, enfin nous l'avion eu. Malheureusement, l'enutrof ne se releva pas... Il avait expiré en me sauvant la vie...

Après que notre équipe eu retrouver ses forces initiales, nous enterrâmes notre pauvre compagnon. Un de nous ne pût s'empêcher de faire remarquer que l'on avait de la chance que ce fût un enutrof, car nous disposions, au moins, d'une pelle pour le trou! Cela ne fut pas bien pris par tout le monde! L'enterrement ne dura guère longtemps, car nous devions continuer a combattre ces maîtres Bolets, détenteurs des rares chanvre euphoriques! Roran et moi n'avions que ce moyen pour en posséder un, et nous formâmes donc une petite équipe constituer de nous (bien entendu), de nos fidèle ami Kinahe le feca et Erwan l'eniripsa, d'un cra, d'une sramette, et, il y avait encore quelque instants, d'un enutrof. Enfin nous dûmes quand même repartir en quête de Bolets. L'avantage de ces créatures est qu'ils ne se cachent pas. il suffisait de faire quelque dizaines de mètres pour redécouvrir un groupe! Mais ce dernier combat fut rude car après de grosses erreurs tactiques de chacun, le terrain s'était retrouver plein de ces horribles invocations de Bolets. Les plus énervant étaient les champ-champs, qui n'arrêtait pas de nous empoisonner et de fuir... Mais l'important était d'avoir réussi, même au prix d'un mort, car nous aurions pû droper un chanvre euphorique, tant convoité. Le mieux aurait été de rencontrer un groupe important de Bolets. Mais ce ne fût qu'au bout d'une demi journée que cela arriva. Et cette attente était justifier! Il y avait là 6 Bolets! Tout le monde prépara ces armes, puis nous nous dépêchâmes d'attaquer le groupe avant qu'on nous le vole. Mais nous ne fûmes pas bien rapides... Un groupe le pris juste avant nous. Le combat dura plus d'une heure, mais nous restâmes a les regarder, au cas ou ils auraient dropés un chanvre euphorique, que nous pourrions leurs acheté. Et nous avions vus juste. Enfin a moitié, car bien qu'ils avient réussis a avoir un chanvre, ils refusèrent de nous le vendre. C'était au dessus de nos forces. Passé autant à chercher quelques chose et le regarder filer entre nos doigts, je ne pouvais pas rester là à ne rien faire. J'agressa alors l'aventurier qui avais eu le chanvre. Mes amis me suivirent et les siens le rejoignirent. C'est alors que commença le combat...

Leur équipe était constitue d'un Iop, leur "meneur", 2 Sram, 1 Sadida, 1 Feca, et d'un Cra. Ce fût le Iop qui commença. Pendant les 10 premiers tours, il ne se passa rien de très intéressant. Mais, au 11°, la première salve d'attaques nous parvint. Le Iop se rapprocha de notre Feca et lui assena un coup d'épée hors norme. Il ne lui restait plus qu'un quart de sa vie totale! Heureusement, l'eniripsa le soigna presque en sa totalité, ce qui eu pour effet d'énerver l'attaquant. Leur but premier serait donc d'éliminer notre "médecin". Mais nous ne nous sommes pas laissées faire pour autant. Après cela, Bolderiz, notre cra, encocha une flèche merveilleusement tiré, car elle eu pour effet de toucher plusieurs ennemis, et certain s'en trouvèrent mal en point. Ce fût alors que plus tard, après la perte de notre sramette, de leur sadida et d'un de leur sram, que le deuxième Sram surprit tout le monde. Nous avions pris son clone pour lui, ce qui lui permis de nous contourner en étant invisible! Cela eu pour effet de mettre un terme a la vie de l'eniripsa. Erwan tomba lentement, succombant au coup sournoix des dagues du sram. A ce moment là, la peur commençait a se faire sentir dans nos rangs mais aussi la rage, la rage d'avoir perdu un ami cher... Puis soudain Roran choisit de foncé dans le tas et d'attaquer les ennemis, car il était animé par la haine et la vengeance,nos sort d'odorat lui donnant l'agilité suffisante pour enchainé plusieur attaques de suite et peut être en finir. Je décidais donc de le suivre. C'était tout ou rien! Le feca nous protégea de ses armure quelques temps, mais pas suffisamment. Nous venions d'éliminer le Sram et le Feca. Les deux Cra se battait seul en s'envoyant de terrible flèche, se percutant souvent l'une contre l'autre dans des éclats terribles! Puis le Iop arriva vers nous, Roran et moi. Il se mit a courir, la colère le poussant a utiliser toutes ses forces. A ce moment la, Roran, le feca et moi nous regardâmes. Nous savions que Kinahe ne pouvait utiliser son immunité que sur l'un de nous deux. Ce qui signifiait que l'autre mourrait, ou serait du moins blessé gravement, très gravement. Il fallait choisir vite, car nous sentions le sol trembler sous la pression que les pas du Iop lui faisait subir. C'est alors que Roran se retourna et fonça vers le Iop, conscient ou pas du danger qui pesait sur lui. Il avait choisi de me laisser l'immunité, et de jouer sa vit. Soudain, un bruit retentit. Un bruit assourdissant, grave. Il provenait du choc entre Roran et le Iop... De la poussière entourait l'endroit ou ils s'étaient percutés. Puis nous vîmes le Iop en sortir et foncer de nouveau vers nous. C'est alors que Kinahe me fit remarquer qu'il saignait abondamment du bras. Il était blessé grièvement. Il fallait en profiter! Ce fût a mon tour de foncé sur lui, la peur au ventre. J'espérai que mon immunité résisterait a son terrible coup d'épée. Nous n'étions plus qu'a quelques mètres quand j'entendis le cri du Cra adverse. Il venait de se prendre une flèche lancé admirablement dans le coeur. Et soudain, le Iop leva le bras au dessus de lui. Je ne réfléchissais plus. Mon bras se leva et ficha la lame entière de mon épée dans l'aisselle du Iop. Un cris retentit. Avec le peu de centièmes de seconde que j'avais, je chercha des yeux le chanvre. Il n'y était pas... Alors son bras retomba et m'assena un coup qui eu pour effet ce que je redoutai. Ma protection explosa et je fût projeter a une dizaine de mètres.

Un silence de mort se fit sentir là ou la bataille avait eu lieu. Le Iop venait de tomber, succombant au blessure de Roran et de la mienne. RORAN! Vite, aller voir si il va bien! Tout le monde se réunis autour de lui. Alors que tout espoir nous avait quittés et que nous nous préparâmes a quitter cet zone nous rappelant la mort de nos amis, un cri retentit. Un cri de joie! C'était Roran qui s'était relever et qui brandissait au dessus de lui le chanvre euphorique! Roran nous expliqua qu'il l'avait récupérer lorsque qu'il percuta le Iop...

Depuis que nous le possédons, nous nous rappelons toujours de son prix... Beaucoup d'amis avait péris pour que nous le possédions... Mais nous ne pouvions nous empêcher de nous réjouir de l'avoir!

                                                                                                                  Lifaen



Entre la vie et la mort
:

Où suis-je... J'ai... j'ai mal... Dormir... Il fallai que je dorme... Que je rentre dans un someil que je ne pourrais jamais quitter. Non! Je devait resistais. Il ne fallai pas que je lache prise. Cette prise qui me maintenait entre la mort et la vie. Cette barrière qui parrait si fine lorsqu'on la atteinte. La douleur m'étais insuportable. Pourtant je m'en fichais, je ne la sentais presque plus. J'étais sur le point de sombrer dans les ténèbres infini... Jamais je ne reverrais le soleil qui rechauffe ma peau, la brise fraiche qui rafraichi mon visage, l'odeur de l'herbe fraiche encore humide de la rosée du matin. Jamais je ne reverrai la vie...
Pourtant je tenais bon. Je voyais des ombre filai devant mes yeux a moitier ouvert, le regard vie. Des hombres... Non des âmes... des âmes torturées qui cherche en vain a franchir cette barière que je me donne temps de mal a ne pas traverser. Eux, l'ont traversé et maintenant il souffre car il ne peuvent aps rejoindre le someil eternel. Ils sont deffinitivement coincé entre la vie et la mort... J'entend des cri d'agonie, je sens qu'il me demande de l'aide. Mais que pourrais-je faire. Je suis coincé moi aussi, seulement de l'autre côté... Plus pour très longtemps je le crain. Soudain des images defile devant mes yeux. De ma naissance jusqu'a aujourd'hui... D'ailleur quel jour somme nous, de quel mois, de quel année? J'ai l'impression que ça fait des éternité que je suis là, je n'est plus aucunes notion du temps, ni de ce qui m'entoure. Ci ce n'est ces âmes...
Ces images... Je les voient, avec de plus en plus de neteté. Ma mère... mon père... Roran, Lifaen; Kinahe... Le combat! Un sram invisible... Le bruit des lames qui s'entrechoquent, des flèches qui fusent, du crepitement des flammes, des cris de douleur... Le sram! Il réapparaît! La fraicheur d'une lame qui penetre mon torse... Le goût du sang dans la bouche. Le dernier soupir... La fin...
NON! JE VEUT VIVRE! VOUS M'ENTENDEZ, VIVREEEE!!
Soudain un flash aveuglant, mes yeux s'illumine. Tout ce passe très vite. Des mots inconpréhensible vienne a ma bouche sans que je contrôle quoi que ce soit. Des formules... des chuchotement... Des mots... Des mots de reconstitutions!
Ma poitrine se soulève et s'abaisse de nouveau au rythme de ma réspiration haletante. Je sens de nouveau le vent, l'herbe, la chaleur, la... la... LA VIE!
J'étais en vie! J'avais resisté! Je m'étais servit de se rebord auquel je 'm'accrochais pour me hisser vers la rélité. Vers la vie!
Je sens de nouveau le sang qui coule dans mes veines, de la lumière, beaucoup de lumière, aveuglante. Je voi de nouveau! Les champs, partout autour de moi.
Peut à peut je retrouve tout mes sens, je me situe, me repère, me souvien. Je reprend connaissance.
J'étais dans les champs de Cania. Seul. Alongé dans l'herbe fraiche.
Plein d'idée s'entrechoquaient dans mon crâne, j'avait mal à la tête. J'étais fatigué... Mais je 'navais plus mal, si ce n'est quelque douleurs passagère. Je m'assoupi quelque instant.

Appuyé contre un arbre je pensai à ce que je venais de vivre. J'avais frolé la mort... J'avais vu ces âmes torturés et je n'avais rien peu faire...
Soudain un declique me vien à l'esprit. Moi qui n'avait jamais trouver un bute, moi qui herais sans à faire des choses qui n'avait aucun interet pour moi. Je venais de trouver ma voie. Ma voie de bontarien.
J'allais devenir prêtre et sauver toutes les âmes des aventuriers qui s'accorche à la vie.

Il y avait aussi une chose dont j'étais sur. Je voulais vivre. Il n'y a qu'une fois avoir froler la mort qu'on se rend compte à quel point la vie est importante. Et qu'il ne faut pas la gacher...

 Erwan    

 



Le Nouvel Age :

Cette semaine n'était pas une semaine ordinaire. Cette semaine allait bouleverser beaucoup de chose en Amakna. Cette semaine était ponctuée de découverte et d'évènement qui modifierait complètement mon mode de vie, et ce de bien Amaknéin...
Tout d'abord une chose qui était source de légende, de compte et de nombreuses histoires à dormir debout avait était révélée. Cette chose n'était autre que la mystérieuse île d'Otomaï. Oui, l'île d'Otomaï...
C'était il y a deux jours. Otomaï avait soudainement disparu d'Amakna. J’avais souvent eu affaire à lui, c'était une personne extraordinaire et mystérieuse, le meilleur alchimiste de tout les temps connu en Amakna. C'est lui qui m'avait donner en échange de quelques ressources ma potions pour l'île des Wabbit, c'est auprès de lui que j'ai fait analyser pour la première fois le sang du Wabbit G.M., c'est lui aussi qui m'avait confectionner une potion d'oubli de sort.
Il avait donc quittais Amakna. Plu tard dans la journée après de nombreuse recherche (on ne laisse pas un si bon alchimiste disparaître de la sortes, sans rien faire!), on eu enfin une nouvelle de lui. Un de ses apprentis avait prit sa place, et il nous révéla quelque chose d'incroyable! Sont maître avait décidé de mettre à la vu et a la portée de tout les aventuriers sont île... Cette île invisible qui avait fait mûrir tant de légende, tout les marins ayants approcher l'île c'été échoué mystérieusement sur une île invisible qui les engloutis. L'île des naufragés. Une sorte de protection de l'île que ce trouvait derrière, la fameuse île d'Otomaï.
Son disciple nous appris donc qu'elle était a présent tout à fait visible et que déjà un bateau permettait d'y accéder. Déjà là bas de nombreuses créature, hommes, et plantes nouvelles nous attendaient.
Nul n'appris pourquoi Otomaï avait prit cette décision mais tout les aventuriers ce précipitèrent vers cette nouvelle terre. Moi même ne m'y rendis pas. Le seul bateau y conduisant, était commandé par un capitaine qui demandait bien trop de ressources pour la traverser.
L'île n'est pas la seule chose qui se produisit cette semaine là. Bien sur elle fût l'élément déclencheur. Car grâce aux nouvelles ressource découvertes, on ne sais comment, les savants bontarien découvrir une recettes capable de confectionner un puissant objet. Un prisme de conquêtes au pouvoir stupéfiant. En effet, ce prisme était capable, lorsque qu’il était posé sur une zone, de rendre la zone en question magique ralliant toutes les personnes s’y trouvant à notre cause. Cette zone désormais magique décuplait nos facultés et nous permettait d’apprendre plus vite et de détrousser les monstres de plus de kamas, de ressource et d’objets. Je ne saurais dire comment cela était possible.
Evidement les savants brakmariens ne tardèrent pas eux aussi a découvrir la recette de ces fameux prismes, et les posèrent alors sur toutes les contrées libres. Ils attaquèrent alors nos propres prismes pour les détruire et poser les leurs à la place. De féroce bataille eurent alors lieu partout dans le monde…

  C’était dans l’une d’elle que je me trouvais. Dans les Massifs de Cania. J’étais entouré d’amis anges, de puissants guerriers hauts gradés. En face de nous, des démons… Tout aussi puissant.
Loin de là dans la forêt des abraknyde ce dérouler un autres combat à l’ombre des arbres. Erwan ce battait là bas… Plus loin encore, dans le village de Pandala, Lifaen contré l’attaque des démons avec de nombreux anges.
Des combats éclaté un peu partout dans le monde, ravageant les terres… De nombreux hommes périrent… Des villages tombèrent en ruine…
Un autre âge avait commencé, la bataille des démons et des anges prenait de l’importance et concernait désormais tout les hommes, les femmes et les enfants du monde…

  Une lame me frôla l’épaule, et venu s’écraser à mes pieds, j’effectua un saut arrière et envoya des cartes coupantes comme un rasoir a mon adversaire. Celui-ci esquiva à son tour… Mais pas l’attaque suivante. Un puissant Iop avait déchaîner ça colère sur lui…
Plus loin de nombreux démons encerclaient nos frères d’armes. Le Iop et moi-même courûmes à leur secours. Dégainant mon arme, je parai l’attaque d’un Feca qui tentait de m’embrocher avec son bâton.
Un duel féroce s’engagea alors entre nous, j’utiliser mon agilité d’Ecaflip pour esquiver ces attaques et lui assenais des rapide coups. Mais c’était sans compter ses armures de Feca.
Un flash m’aveugla soudain, mais je vu suffisamment pour esquiver en parti l’attaque du Feca. Sa glyphe d’aveuglement s’estompa, et bien que blessé je parvint a lui trancher un bras… Il tomba à l’agonie sur le sol, et je n’eu pas le cœur de l’achever. Ce n’était pas le cas du Sacrieur qui lui trancha la tête sans ménagement. La violence du combat me donnait la nausée. Partout des corps mutilés jonchaient le sol.
Je pris mon courage a deux main et me lança vers un nouvelle ennemi, un Sram. Mais celui-ci disparu. Un piège explosa alors juste devant moi, me projetant avec force plusieurs mètres plus loin. La douleur m’empêchait de me relever… Le Sram, soudainement réapparu, avança vers moi. Je ne dû ma vie qu’a l’intervention d’un Xelor qui d’un coup de marteau écarta le Sram de sa route.
Je me releva difficilement et, cette fois-ci, je n’eu d’autre choix que d’achever le Sram.

  Le combat était fini, sur le champ de bataille ne restait que des cadavres, des trentaines de cadavres. Des anges faisait des aller retour pour s’occuper des blessés, achevait les ennemis encore vivant mais aussi les amis agonisant… Tache difficile.
Un Eniripsa dont je ne connaissais pas le nom s’occuper de moi, il pansait ma blessure au bras dont le sang durcis salissait encore ma tunique. J’étais mort de fatigue et mon corps plein de bleus et d’hématomes me faisait mal.

  Plus tard je m’endormis… Gardant en tête l’image des champs de bataille, et l’anxiété de ne jamais revoir mes amis vivants.

Roran



Le D
onjon Larve :

Avez-vous déjà entendu parler du donjon Larve? Moi, malheureusement, oui... Cette histoire débute le matin du 2 octolliard 637. Un froid régnait dans tout le petit village d'Astrub, donnant une impression d'hiver, bien qu'étant seulement en Octolliard. La veille, a mon arrivé au zaap, des voix parlant d'un donjon relativement facile me parvinrent. Je ne pus m'empêcher de me rapprocher, pour en apprendre plus. A première vue, il s'agissait de l'antre d'une certaine Shin Larve, aussi grosse qu'un Bitouf chauve. Ils avaient l'air de l'avoir tuer facilement, sans encombre, vu le ton sur lequel ils s'entretenaient. J'appris même, par chance, que pour y rentrer, seul suffisait un oeuf de larve doré!

Par conséquent, en me levant ce matin, j'avais dans l'idée d'aller trouver le moyen de parvenir à rencontrer cette larve nommé Shini. Mais, avant d'entreprendre quoi que ce soit, un groupe devait être formé. Après en avoir parlé a Roran ,toujours partant pour ce genre de chose, nous choisirent, tous compte fait, de la faire ensemble, a deux.

Le chemin pour y arriver fût trouvé dans un des livres de la Grande Bibliothèque d'Amakna, traitant des donjons de toutes sortes. Nous devions passés par le territoire des craqueleurs avant de pouvoir entamer le chemin des mines, arrivant finalement devant le Donjon...

Pour nous échauffer quelques peu, nous attaquâmes quelques craqueleurs, accompagnés de faibles chevaucheurs de Karnes, ne faisant rien de plus dangereux que rigoler. Échos ceci, nous nous dirigeâmes vers le l'entrée de la mine, d'ou résonnait des échos presque imperceptible, ressemblant a des coups de pioches... Pourtant, après plus de 10 minutes dans la mine, aucun problème ne s'était opposé a nous. Ce fût seulement à une quinzaine de mètres devant la porte de la caverne de Shin qu'un groupe de Mineurs Sombres nous agressa. Ils étaient six ,tous armés d'une pioche luisantes grâce a la faible lueur de leurs bougies. Connaissant leurs perfidies, qui résidaient a la simple action de nous "paralyser" mentalement pendant quelques seconde, nous choisîmes de nous reculer rapidement avant leurs premières attaques. Avec le peu de possibilités qu'il nous restaient suite a leurs maladresse de masse, comme ils disaient, nous ne pouvions faire grand chose. Par petits lancer de carte tranchantes, leurs vies descendaient, mais pas suffisamment pour tous les tuer a temps. Et j'en paya les conséquences... Arriver si près de moi que son haleine fétide m'emplissait les poumons, le dernier mineur m'envoya un terrible coup de pioche dans le dos. Je n'eu le temps que de voir le bout de la pioche ressortir du cote de mon ventre, et je m'écroulai. Je ne pouvais rien faire, le temps semblait s'être arrêter, et la douleur grandissait...

Pendant le temps que Roran prit a exterminer le dernier monstres, il me sembla qu'il se passa des années. Je ne dus ma vie qu'a une Ecaflipe attendant devant le donjon, dans le but de voir cette énorme larve. Je parle de devoir ma vie car, en effet, elle disposait de potions de Guérison, et s'empressa de m'en faire laper quelques gouttes, suffisantes pour me remettre d'aplomb.

Nous prîmes une petite demi-heure a nous connaître, puis elle accepta de nous suivre! En arrivant devant la porte, notre oeuf de larve devint une larve dorée, puis s'enfuie. Ou sa ? Nous allions les suivres pour le savoir. Sur le chemin, nous rencontrâmes des larves nous regardant étrangement a travers leur regard vitreux. Les plus haineuses d'entres elles n'hésitèrent pas a nous attaquer. Les autres salles se ressemblaient toutes.. Seul le nombre de larves déployés grandissait. Puis, vers la moitié de ce donjon, alors que nous avions accepté avec nous un eniripsa, un enutrof et un feca en plus, une salle piège s'offrit à nous... Pour arriver a ouvrir un porte se trouvant à notre droite, il fallait disposer sur le sol une peau de larve de chaque couleur. Après sa, la dite porte s'ouvrait et nous laissait apercevoir au loin un 2° porte, commençant déjà a se refermer. Nous comprime très vite le système de cela. Tout aurait été facile si, entres l'entrée et la sortie, ne se dressaient pas tels des remparts des hordes de larves, toutes plus menaçantes les une que les autres. Il était clair que leur but était de nous éliminer... Nous nous mîmes alors a courir de toute nos forces, oubliant la fatigue dû aux premières salle de ce donjon. Seul notre survis nous importait. Puis le drame se produisit... L'enutrof nous accompagnant venait de rejeter une larve émeraude lui ayant sauter au visage quand il trébucha. Et déjà des cris venait de l'endroit ou il se trouvait. La feca voulut alors aller le sauver. Mais je ne pouvais la laisser risquer sa vie elle aussi. Un mort était regrettable, mais deux inacceptables...

Roran, quant a lui, passa la porte en premier, suivit de près par l'eniripsa et l'ecaflipe. La porte était alors presque fermé lorsque que Armura et moi sautons de l'autre coté. Nous avions tour réussi... presque tous....

Mais nous n'eûmes guerre le temps de pleurer la mort de notre camarade, car un crissement étrange nous fit nous retourner... Au fond de la grotte dans la quel nous nous trouvions en ce moment même, bougeait une masse difforme, grisâtres. Quelques larves vinrent entourer cette "chose", et nous pûmes aussi voir quelques larves dorées. Voila a quoi servait ces oeufs de larve répandu partout dans Amakna... A piéger les jeunes aventuriers.

Puis elle se releva et nous révéla son sourire affreusement hilarant, étant donne qu'elle n'avais qu'une seul dent. Malgré cela, son regard et l'atmosphère dans cette salle suffisaient à nous empêcher de rigoler... Il s'agissait forcement de Shini... Quel erreur que d'être venu jusque la ... Je n'avais plus qu'une certitude. Nous allions sortir de ce donjon bien plus vite que pour y rentrer. Elle nous fonça alors dessus, avec une vitesse incroyable vu son poids. Elle me choisis comme cible en premier. Je l'a regardai me foncer dessus, et je ne pouvais rien faire... J'étais comme hypnotisé par elle. Elle me percuta alors de plein fouet, puis planta sa dents, superbement aiguisé, au plus profond de mon bras. Je ne sentais déjà plus mes jambes. Alors tombé a terre, les autres larves en profitèrent pour me recouvrir.. Je ne pouvais rien faire a part les voir m'achever... Mes amis n'eurent guere plus de temps que moi. En moins d'une minute, nous étions tous mort...

Notre âme erra jusqu'a retrouver une statue du phénix, emblème mythique représentant la vie, et qui d'ailleurs nous la redonnait. Aucun de nous n'osait alors parler de ce qui venait de se passer, sans doute rempli d'un sentiment de peur et de frustration.

L'image de Shin Larve me revient alors a l'esprit. Plus jamais je ne dormirai normalement....

                                                                                              Lifaen
 
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